1- Vedett, la revanche d’une blonde
Mais que fait ce pingouin sur l’étiquette ? Qu’il retourne presto sur sa banquise et cède la place à un phénix. L’oiseau capable de renaître de ses cendres symboliserait mieux que le gauche palmipède une bière née en 1945, tombée dans l’oubli dans les années 1970 et qui a renoué avec le succès, le strass et les paillettes depuis le début du XXIe siècle. Chapeau la vedette ! www.duvel.com
2- Natura, un amour de mayo
À quoi ça sert les frites, si t’as pas la mayo ? À quoi ça sert la mayo, si t’as pas une Natura ? Dans un pays qui fixe par arrêté royal la recette de la mayonnaise, Natura fabrique depuis 1939 la glorieuse sauce avec juste des jaunes d’œufs, du sel, de la moutarde, du vinaigre et de l’huile qu’elle fouette avec beaucoup d’amour. Tous en redemandent.
3- Pierre Marcolini, la haute chocolaterie
Le petit Marcolini de Charleroi qui rêvait de devenir chocolatier est devenu grand. Il fait de la haute chocolaterie comme d’autres font de la haute couture. Et il ouvre naturellement des boutiques de luxe dans le monde entier. Il y en a une quarantaine dans le monde. Plutôt que d’aller à Bruxelles quérir son Marcolini, il est tellement plus chic de faire un aller-retour jusqu’à Tokyo.
4- FriFri, la Rolls des gaufriers
Chez FriFri, on ne porte pas dans son cœur le capitaine Haddock. Pensez donc, cet énergumène a fait du moule à gaufres une insulte. D’ailleurs chez FriFri afin d’éviter toute confusion, on parle de gaufrier et pas n’importe lequel. C’est la Rolls des gaufriers, celui que les mères transmettent à leur fille quand elles convolent. Un FriFri pour le meilleur, rien que le meilleur. www.frifri.be
5- Savonneries Bruxelloises, le savon des rois
Si le le roi Philippe, la reine Mathilde, la princesse Elizabeth, le prince Gabriel, le prince Emmanuel, la princesse Eléonore sentent si bon et ont la peau si douce, c’est parce qu’ils utilisent chaque jour pour leur toilette les savons des Savonneries Bruxelloises élevées au rang de fournisseurs brevetés de la Cour de Belgique. Idéalement, on s’en sert après avoir feuilleté Point de vue dans son bain.