À propos

AR Le Nouveau Voyageur

Tous les trois mois, 100 pages de reportages pour prendre le grand large depuis votre salon.

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Notre ligne éditoriale

Du proche au lointain

AR, le magazine qui donne envie de voyager près de chez soi (le dépaysement n’est pas affaire de distance) comme aux antipodes. Des reportages sensibles où les journalistes en plus de montrer, informer, expliquer relatent aussi leur expérience de voyageur. Quelle que soit la destination, on retrouve du vécu, de la sensibilité, de l’érudition, de la passion et de l’humour.

Une belle gueule

Un magazine qui soigne son image et les images. Pour commencer un graphisme élégant au service de la clarté. Clarté de la maquette qui unit avec délicatesse le vide et le plein au bénéfice de la lecture. Ensuite une large place est réservée aux photos. Dans les reportages au long cours ou les portfolios, elles paradent en grand format, rehaussent les textes en saisissant l’essence d’un instant, le mystère d’une ambiance, la vérité d’un corps, d’un visage, la splendeur d’un lieu.

Durable ?

S’intéresser aux destinations proches n’est pas anodin. C’est une façon d’aborder le tourisme durable. Durable avec un point d’interrogation car si un tourisme durable est nécessaire, sa mise en œuvre n’est pas forcément facile. Nous questionnons les alternatives au tourisme de masse et relevons les meilleures initiatives, celles qui font la part belle au respect de l’environnement et des peuples, à l’improvisation, à la lenteur, à la solidarité et à l’originalité.

La culture du voyage

Nous partageons nos découvertes en matière de livres, de films et musiques (on peut écouter nos playlists sur Deezer). Nous interviewons des personnalités du monde des arts, des médias, du sport, de la politique qui aiment les voyages et qui ont quelque chose à dire sur le sujet.

Un brin d’humour

« Trous du cul du monde » au nom évocateur est l’occasion de rappeler qu’il y a des destinations à éviter, que des voyages peuvent virer au cauchemar et que celui ou celle qui n’a jamais galéré n’a pas dû aller très loin. Cependant la pire galère consiste à rester chez soi.