Si l’été, un avion survole l’île toutes les 3 minutes pour déverser sur les dance-floors une faune en quête de transes, Jérémie Quidu, lui, reste à l’abri de la frénésie au cœur même de la ville de Sant Antoni sur la côte est. Au bout d’un long chemin caillouteux, on le retrouve dans sa maison entourée d’un jardin. Pour nous désaltérer, il nous tend une bouteille d’eau au fond de laquelle reposent des fragments de quartz rose, cornaline et œil de tigre : “L’eau a une conscience, on peut lui donner des informations grâce à ces pierres précieuses.” (…) Lire la suite dans AR37
Photographe : Virginie Sueres